Freud wird als Beobachter und sozialer Akteur eingeführt, der einen Erkenntniszugang zu rätselhaften Krankheitserscheinungen seiner Zeit sucht. Die Krankengeschichte über Dora stellt sich von daher als Entdeckung von Psychischem an der Grenze des in seiner Zeit über Sexualität Reflektierbaren dar. Die Autorin betont an der Fallstudie über Dora ihre wissenschaftlich-literarische Form und entwickelt an ihr formale Kriterien, die helfen können, psychoanalytische Erkenntnisse angemessen zu übermitteln.
Freud the observer. The case study »Fragment of an analysis of hysteria«
The article focuses on Freud as an observer and social actor in search of enlightenment on mysterious cases of illness manifesting themselves specifically in his own day. Seen thus, the case history of Dora shows up as the discovery of a psychic phenomenon situated at the limits of what it was possible to think and say about sexuality at the time Freud was working in. Karola Brede emphasizes the blend of the scientific and the literary in the form Freud gives to the discussion of Dora’s case, proceeding from there to develop criteria that can help in casting psychoanalytic insights in an appropriate mold.
Freud comme observateur. L’étude du cas Dora selon »Fragment d’une analyse d’hystérie«
Freud est introduit en tant qu’observateur et acteur social qui cherche un accès à la connaissance des symptômes énigmatiques de maladies de son époque. L’histoire de la maladie de Dora se présente donc comme la découverte du psychique, à la limite de ce qui, à l’époque, pouvait être mené comme réflexion sur la sexualité. Karola Brede souligne la forme littéraire de l’étude du cas Dora et, en s’appuyant sur celle-là, elle développe des critères formels qui peuvent aider à transmettre de manière adéquate les connaissances psychanalytiques.
Im traditionellen psychoanalytischen Setting dominiert bekanntlich das gesprochene Wort, nicht-sprachliches Verhalten tritt dahinter zurück und scheint aus dem Feld des wechselseitigen Blicks von Patient und Analytiker weitgehend ausgeschlossen zu sein. Am Beispiel schwerer Persönlichkeitsstörungen kann der Autor zeigen, daß – neben dem Sprechen – Ausdrucksformen zwischen Patient und Analytiker realisiert werden, die sich in körperlich-gestischem Handeln, in Enactments, äußern. Sprachlicher Dialog und nicht-sprachliche Kommunikation, Handlung und Sprache, sind untrennbar miteinander verschränkt. Mit kurzen Fallvignetten verdeutlicht der Autor seine Sichtweise.
In the face of the other. Non-verbal communication in therapeutic dialogue
Traditionally, the psychoanalytic setting is dominated by the spoken word. Non-verbal behavior takes a back seat and appears to be largely excluded from the eye contact between patient and analyst. With reference to severe personality disorders, the author is able to show that alongside verbal exchange there are indeed other forms of expression that materialize in the encounter between patient and analysis. They manifest themselves at the physical level of gesture and enactment. Verbal dialogue and non-verbal communication, action and language, are inextricably mixed. The author illustrates his points with a number of case vignettes.
Agir face à l’Autre. Sur la communication non-verbale dans les dialogues thérapeutiques
On sait que dans le setting psychanalytique traditionnel, c’est la parole qui domine, que le comportement non-verbal est relégué au second plan et qu’il semble être largement exclu du champ constitué par l’échange mutuel des regards du patient et de l’analyste. L’auteur parvient à montrer, à l’aide de l’exemple des troubles graves de la personnalité, qu’entre le patient et l’analyste des formes d’expression sont réalisées à côté de la parole, qui s’articulent au moyen de l’action corporelle et gestuelle, au moyen d’enactments. Le dialogue verbal et la communication non-verbale, l’action et le langage sont inséparablement liés. L’auteur explicite ses vues par de brèves présentations de cas.
Neben dem Traum, der Fehlleistung und dem neurotischen Symptom hat Freud bekanntlich auch den Witz als Nachweis des Unbewußten genutzt. Der Autor stellt Freuds Theorie des Witzes eine weitere Dimension zur Seite: Während für Freud der »eigentliche« Witz ein textliches und sprachliches Bedeutungsphänomen ist, erkennt Flader im Witz auch einen sozialen Vorgang, einen Prozeß sprachlichen Handelns und einen Kommunikationsprozeß mit je subjektiven Strukturen. An Freuds Prinzip der Aufwandersparnis und der Gedanken zur genetischen Entwicklung des Witzes verdeutlicht der Autor seine Überlegungen, die er abschließend anhand einer Reihe aktueller Witzbeispiele exemplifiziert.
Jokes as social processes and expressions of subjectivity
Alongside dreams, parapraxis, and neurotic symptoms Freud also examined jokes for what they have to tell us about the unconscious. The author supplements Freud’s theory of jokes with an additional dimension. Whereas for Freud the joke »proper« is a semantic phenomenon of a textual and linguistic nature, Flader sees joke-telling as a social process, a speech act, and a communicative occurrence, each with subjective structures of their own. With reference to Freud’s principle of »economy on expenditure« and to ideas on the genetic development of jokes, the author sets out his own views, exemplifying them in the concluding section in connection with a number of typical present-day joke formats.
Le mot d’esprit en tant que processus social et expression de la subjectivité
On sait que Freud, à côté du rêve, de l’acte manqué et du symptôme névrotique, a également exploité le mot d’esprit en tant que preuve de l’inconscient. L’auteur ajoute une dimension supplémentaire à la théorie du mot d’esprit selon Freud: alors que, pour Freud, le mot d’esprit »véritable« est un phénomène de signification textuel et verbal, Flader voit aussi dans le mot d’esprit un processus social, un processus d’action verbale et un processus de communication avec des structures subjectives. A l’aide du principe de l’économie des dépenses selon Freud et de la réflexion sur le développement génétique du mot d’esprit, l’auteur explicite ses idées et les illustre, pour finir, au moyen d’une série d’exemples actuels de mots d’esprit.
Die Bildhaftigkeit von Träumen und die klinisch und experimentell häufig nachweisbare Verbildlichung von primär nicht-visuellen Tagesresten erklärt der Autor damit, daß die motorischen Kerne der inneren Augenmuskeln im Gegensatz zu jenen der äußeren Gesichts- und Körpermuskeln während REM nicht deaktiviert sind. Im Sinne eines arousals wirken diese auf die optische Sphäre zurück und begünstigen damit auf autonome Weise die Visualisierung auch nicht-visueller Reize und Gedanken.
The necessity of visualization in the formation of dreams
Dreams consist of images, and there is clinical and experimental evidence proving that even primarily non-visual day residues take a graphic form. The author’s explanation for this is that, unlike the motor nuclei of the external face and body muscles, those of the inner eye muscles are not deactivated during REM sleep. Accordingly, they function as an arousal of the optic sphere and thus have an autonomous effect favoring the visualization of non-visual stimuli and thoughts.
La nécessité de la visualisation dans la formation du rêve
L’auteur explique le caractère visuel des rêves et la visualisation des restes diurnes d’abord non visuels, qu’on peut souvent démontrer cliniquement et expérimentalement, par le fait que les centres moteurs des muscles oculaires internes, contrairement aux centres moteurs des muscles externes du visage et du corps, ne sont pas désactivés pendant la phase de sommeil paradoxal. Les premiers réagissent, dans le sens d’un arousal, sur la sphère optique, favorisant ainsi, de manière autonome, également la visualisation des stimulations et des pensées non-visuelles.
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